The Arabe Foundation

Le début d'une fin.

Tout a commencé en 1987, le pays est tombé dans l'anarchie la plus totale. Des bandes de hors-la-loi, peu nombreuses au départ se sont formées dont la (ARF) en question, créant ainsi la confusion et le trouble dans le pays. Ces derniers ont été qualifiés de « premiers mafieux ». En effet, ils profitaient du chaos qui régnait pour éliminer les preuves contre eux tels que les rapports de police, ainsi que quelque fois éliminer les policiers eux-mêmes.




Une visite pas comme les autres.

A la fin du XXème siècle, les amena à effectuer un changement au niveau de leurs emplacement ainsi leurs techniques d'actions .

*Chez Les Alemdars* Le rez-de-chaussée d'une maisonnette, au bon milieu de la forêt sur une petite colline. A droite la porte d'entrée et une fenêtre dans les volets sont clos. Au fond, le téléphone sur une commode. A gauche, vers le fond, une porte.Table, chaises. Mobilier hétéroclite et bon marché. On sent que les personnes qui vivent dans cette pièce sont totalement indifférent aux meubles. Mourad, seule, assis devant une radio, manœuvre les boutons de cette dernière. Brouillage, puis une vois assez distincte.

*SPEAKER* L'ancien gouvernement ne tient plus...

Mourad tourne le bouton la voix s’arrête. Mourad reste immobile les yeux fixes. Un temps. On frappe. On frappe encore. Il va lentement à la porte. On frappe de nouveau.

Mourad: Qui est-ce ?
Voix de Fahmi: Fahmi, ouvre voyons ! Ouvre-moi.

Mourad va rapidement vers la commode...prend un son arme de la main gauche, dans le tiroir, va ouvrir la porte, en se rejetant vivement en arrière, pour éviter les surprises. Son frère Fahmi se tient sur le seuil.

*Ils se regardent un moment en silence*

Mourad recule d'un pas. Le revolver n'est pas tout à fait braqué sur Fahmi. Fahmi jette un regard au revolver et tourne lentement le dos à Mourad. puis ferme la porte.

Fahmi: T'es au courant ?
Mourad: *Soupire* Hélas oui...
Fahmi: *Il hausse les épaules un instant* Qu'allons nous faire ?
Mourad: Rassure-toi.
Fahmi: *Se détend un peu et le regarde avant d'ajouter* Je m'en doutais. Je ne sais pas pourquoi, j'avais pris l'habitude de penser à ce que cela arriveras un jour...
Mourad: *On parlant d'une voix basse* On resteras pas ici.
Fahmi: *En le fixant des yeux* Tu viens dire quoi là ?
Mourad: *En Soupirant* On va quitter le pays.
Fahmi: *L'air étonné* Quoi ?! c'est foutu pour notre bis ? on balance tout comme ça ?
Mourad: *Part dans ses pensées pour un moment puis ajoute* On va tous refaire dés le début *soupire puis ajoute* Mais certainement pas ici...
Fahmi: *Fixant son regard par terre* Bon à présent il ne me reste plus qu'à voir ce que l'on peut transporter et faire un plan d'évasion.
Mourad: J'ai Quelques relation à San Fierro, je vais essayer de nous faire sortir de là, et nous trouver un refuge loin des regards, un petit coin dans la forêt.
Fahmi: *D'un air étonné* Quoi on part en Amérique ?
Mourad: *D'un regard plein d’espoir il ajoute* Le seul endroit ou l'on peut vivre libre et refaire notre bis.
Fahmi: *Se relève et se dirige vers la pièce à droite de la porte avant d'ajouter* C'est un grand jour qui nous attend demain...




Tu réussis toujours quand tu veux quelque chose.

Le 1Septembre 2002 a 03h du matin, débarquent en vedette a San Fierro dans un petit lac qui traverse la forêt, on voit un groupe d'une dizaine d'hommes moyennement âgés, aussitôt arrivés sur la cote, ils prennent le chemin vers la fameuse petite cabane près du lac cachée au milieu de la forêt.. L'histoire de ces hommes recommence le lendemain...

Étant déterminés à être de nouveau des maîtres de leur domaine, ils étaient de plus en plus hantés par l'idée qu'ils devraient se procurer une place dans la ville, en usant de la confiance totale dans leur force, ils ont pu reconstruire diverses petits réseaux de trafique illégales.

Cette influence s'étendit ensuite dans tout l'Ouest de Los Santos. De peu nombreux au départ ils se transformèrent en de grandes bandes présentes un peu partout dans le pays, créant ainsi une organisation, celle-ci permit aux bandes dispersées dans le pays, un environnement plus sûr, la création de meilleurs profits et le renforcement des liens qui les unissent.


Un invité surprise.

A la lueur d'une petite lampe de chevet posée à l'extrémité d'une table grossière, Fahmi lisait une lettre. C'était une lettre récemment écrite, par-contre l’écriture n'en devait pas être aisément déchiffrable, car l'homme approchait souvent la page de la lampe pour y mieux voir.

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